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La FCC approuve l’utilisation du système Galileo GNSS aux États-Unis.
Selon l’ARRL, la FCC a partiellement accédé à la demande de la Commission européenne de déroger à ses règles afin que les appareils non fédéraux aux États-Unis puissent accéder à des signaux spécifiques transmis par le système mondial de navigation par satellite (GNSS) connu sous le nom de Galileo.
Cette action signifie que les consommateurs et l’industrie des États-Unis peuvent accéder à certains signaux satellites du système Galileo pour renforcer le système de positionnement global (GPS) américain. L’ordre approuvé indique que le GNSS Galileo occupe une position unique par rapport au GPS américain, car les deux systèmes sont interopérables et compatibles RF conformément à l’accord de 2004 entre Galileo-GPS conclu entre l’Union européenne et les États-Unis.
Plus précisément, le décret autorise l’accès à deux des signaux satellites du système Galileo – le signal E1 transmis dans la partie 1 559 – 1 591 MHz de la bande 1 599 – 1 610 MHz du service de radionavigation par satellite (RNSS) et le signal E5 transmis dans la bande 1 165 – Partie 1 1219 MHz des bandes RNSS de 1 164 – 1 215 MHz et de 1 215 – 1 240 MHz.
Source ARRL ICI
LY – Lituanie sur un groupe de 60 m de Tadas, LY2BAW
La mise à jour 2018 du Plan national des fréquences de la Lituanie énumère une nouvelle bande à 5 MHz / 60 m, à savoir l’allocation pour le secondaire amateur de la CMR-15, de 5351,5 à 5366,5 kHz avec une pire de 15W.
Tadas, LY2BAW l’a déjà confirmé à Paul, G4MWO Lituanie a déjà démarré ses activités conformément au plan de fréquences national de la Lituanie.
Source ICI
Le Monténégro est le dernier pays membre
La dernière mise à jour du plan national des fréquences du Monténégro (p. 37) présentée par le régulateur des télécommunications du pays, EKIP, énumère une nouvelle bande le 5 MHz / 60m, à savoir l’attribution au secondaire amateur de la CMR-15 de 5351,5 – 5366,5 kHz avec 15W de la PIRE, a été confirmé par la société nationale, le pool Radioamateur du Monténégro (MARP).
Annonce EKIP (Tnx: EKIP, 409TTT, MARP, W8GEX)
Les communications avec les drones : utilisation des réseaux des opérateurs mobiles
et
recherche de fréquences sécurisées pour les drones professionnels
Au-delà des usages dans le cadre des missions de défense, de sécurité publique ou des projets à plus long terme de véritables avions sans pilote(cargo ou passagers) , les drones de loisirs ou professionnels sont en plein essor. Si le cadre réglementaire actuel applicable à certaines « bandes libres » comme la bande 2,45 GHz ou aux bandes de l’aéromodélisme apparaît bien adapté aux drones de loisir, un usage professionnel implique des garanties de fiabilité des liaisons de données. La question de l’accès aux fréquences pour le pilotage des drones et l’exploitation de leur « charge utile » (par exemple pour le rapatriement d’images vidéo) se pose aussi bien sur le plan national qu’européen.
Afin d’y répondre, une catégorisation des différents drones se dessine à l’échelle européenne. Elle est fondée sur l’usage des fréquences, bien distincte des catégories utilisées par l’aviation civile et l’agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) :
Drones dits « de loisirs » : cette catégorie regroupe l’ensemble des drones utilisés hors d’un cadre professionnel, comme les jouets ou les modèles employés pour les compétitions.ces drones continueront à utiliser certaines fréquences libres ou les fréquences de l’aéromodélisme.
Drones dits « professionnels » : cette catégorie correspond aux drones ayant vocation à être utilisés dans un cadre professionnel, par exemple pour la prise de vues aériennes, la surveillance d’installations ou la couverture vidéo en temps réel lors de grands événements. Leur altitude de vol reste typiquement inférieure à 150 m mais ils peuvent dans certains cas voler plus haut et accéder à l’espace aérien contrôlé avec autorisation de l’Aviation Civile. Dans la réglementation de l’AESA, ces drones correspondent aux catégories « ouverte » (ne nécessitant pas d’autorisation ni de déclaration pour la mise en œuvre du drone) et « spécifique » (nécessitant, selon les scénarios d’utilisation, une autorisation ou une déclaration de l’opérateur). Ils peuvent faire l’objet de restrictions en termes de survol de certaines zones.
Les études actuelles auxquelles contribue l’ANFR concernent :
le recours aux réseaux mobiles, notamment pour des vols de grande distance impliquant un pilotage au-delà de la ligne de vue directe ;
l’utilisation de bandes de fréquences dédiées : 1 900-1 920 MHz et 5 000-5 010 MHz en priorité pour le contrôle du drone, les besoins de la charge utile pouvant être couverts par ailleurs (par exemple en utilisant les bandes de fréquences pour les usages vidéo PMSE.
Les fréquences des « réseaux professionnels » peuvent aussi être utilisées par ce type de drones pour un usage localisé par l’exploitant du réseau.
Drones dits « certifiés » : les drones de cette catégorie sont soumis à une certification par les autorités de l’Aviation Civile. Ils peuvent en effet s’insérer dans la circulation aérienne générale. Ils utiliseront les systèmes relevant de l’Aviation Civile et les bandes aéronautiques identifiées pour cet usage dans le tableau national de répartition des bandes de fréquences (TNRBF)
Drones dits « gouvernementaux » : ces drones ont vocation à être utilisés notamment par les forces de police ou la sécurité civile lors de la réalisation de leurs missions. Ils utiliseront des bandes de fréquences dédiées spécifiques, distinctes de celles utilisées par les drones « professionnels » afin d’éviter que les deux usages n’interfèrent, particulièrement en cas de situation de crise où l’emploi des drones de la police et des médias peut être simultané.
L’ANFR s’investit dans ces divers travaux au niveau européen (CEPT) afin de mettre en place un cadre réglementaire clair. Il doit permettre la coexistence des différents usages de drones à la fois entre eux et avec les autres systèmes présents dans les bandes de fréquences dédiées ainsi que dans les bandes adjacentes. Les premières études techniques seront lancées début 2019 et les premiers résultats sont attendus début 2020.
Enfin, l’ANFR a mené des campagnes de surveillance de marché afin de vérifier la compatibilité des équipements commercialisés avec les normes applicables au titre de la Directive équipements radio.
Source ANFR ICI
Licence Novice CEPT en Belgique
Lors d’une réunion avec les associations de Radioamateurs belges, l’IBPT, le régulateur des communications, a annoncé son intention de présenter la licence CEPT Novice et de réduire le niveau de puissance de la licence de base.
Une traduction de Google du message UBA se lit comme suit:
En ce qui concerne le degré de difficulté de l’examen, la licence se situe entre le permis de base et la licence HAREC et cela doit également se refléter dans les privilèges (bandes, puissance de transmission, modes).
La proposition de l’IBPT est la suivante:
Licence CEPT Novice:
- Accès à toutes les bandes d’ondes décamétriques (sauf 60 m et 160 m uniquement 1,81-1,85 MHz), 6 m, 2 m et 70 cm.
- Puissance de transmission de 100 W sur les bandes HF et de 6 m, 50 W sur 2 m et 70 cm.
- Tous les modes sauf (D) ATV.
Licence de base:
Un réaménagement de l’accès aux bandes par rapport à maintenant :
- 80 m: inchangé
- 40 m: inchangé
- 30 m: extra 10 kHz (10,10-10,15 MHz au lieu de 10,11-10,15 MHz)
- 20 m: fréquence supplémentaire de 65 kHz (14,00-14,15 au lieu de 14 000-14,085 MHz, 14,25-14,35 MHz inchangés)
- 17 m: pas d’accès (maintenant 18,080-18,168 MHz)
- 15 m: extra 40 kHz (21,00-21,10 MHz au lieu de 21,04-21,10 MHz, 21,32-21,45 MHz inchangés)
- 12 m: pas d’accès (maintenant 24,90-24,99 MHz)
- 10 m: extra 40 kHz (28,00 à 29,70 MHz au lieu de 28,04 à 29,70 MHz)
- 6 m: pas d’accès (maintenant 50.128-52.000 MHz)
- 2 m: inchangé
- 70 cm: inchangé
- Puissance d’émission de 10 W, mais l’utilisation d’émetteurs-récepteurs de 100 W est toujours autorisée.
- Tous les modes sauf (D) ATV.
Les valeurs nominales indiquées sont la puissance moyenne autorisée, la puissance de pointe autorisée (PEP) est plus élevée en mode CW et SSB:
- Puissance moyenne 10 W = PEP 40 W en SSB, PEP 20 W en CW, PEP 10 W en FM.
- Puissance moyenne de 100 W = PEP 400 W en SSB, PEP 200 W en CW, PEP 100 W en FM.
Ce qui précède n’est qu’une proposition de l’IBPT. Avant de changer quoi que ce soit, une consultation publique aura lieu. Les associations reconnues et les Radioamateurs individuels pourront commenter ou soumettre des propositions alternatives.
Toutefois, l’objectif de la proposition doit être maintenu: les privilèges du permis de base, du permis Novice et de HAREC doivent être suffisamment différents pour inciter les Radioamateurs à poursuivre leur croissance.
Source UBA : ICI
Belgique Les détenteurs de licence Basic bénéficient actuellement d’une puissance de sortie de 50 watts pour tous les modes. Les modifications proposées réduisent ce nombre à 40 watts PEP SSB et à 10 watts pour FM.
Il existe déjà une licence de novice belge que vous obtenez, si vous obtenez entre 50 et 65% des 40 questions posées lors de l’examen HAREC. La puissance autorisée est de 50 watts en sortie pour tous les modes. La proposition signifie qu’un novice du CEPT pourrait fonctionner avec une puissance de 400 watts PEP SSB et 100 watts FM.
L’ANFR lance la Blockchain des fréquences LE 17/10/2018
Lors de sa Conférence Spectre & Innovation qui s’est tenue ce jour à Station F, l’Agence nationale des fréquences (ANFR) a lancé la Blockchain des Fréquences, service inédit dans le secteur public, qui permet d’expérimenter un mode innovant de gestion des fréquences adapté aux enjeux du futur.
Face aux défis de la rareté de la ressource en fréquences, de la forte croissance des nouveaux services connectés et de la diversification des acteurs, de nouveaux enjeux apparaissent pour une gestion du spectre plus dynamique et plus en phase avec les évolutions technologiques et les nouveaux besoins sociétaux.
La Blockchain des Fréquences va permettre d’expérimenter, en lien avec les affectataires de fréquences, un nouveau mode de gestion du spectre, tourné vers le numérique, l’auto-organisation des acteurs et l’anticipation de leurs besoins, sans intervention d’un gestionnaire centralisé.
Cette blockchain a prioritairement été développée pour une solution de réservation de fréquences dans les bandes à autorisation générale – les fréquences dites « libres de droit », comme le wifi par exemple. Ces bandes, où prévaut la liberté d’exploitation, sont de plus en plus sollicitées mais ne sont toutefois pas protégées. La densification de leur utilisation peut aboutir à en dégrader le fonctionnement. La Blockchain des Fréquences permet d’accompagner cette croissance afin d’apporter la meilleure qualité de service aux utilisateurs en garantissant la transparence, la traçabilité et l’intégrité des réservations de fréquences. Elle sera ouverte dès novembre aux gestionnaires de sites, aux organisateurs de grands événements ou demandeurs de fréquences radios qui pourront recourir à cette solution pour prévenir les risques d’interférences.
Ce service, qui fait de l’ANFR la première institution publique européenne à développer un registre de gestion des fréquences utilisant la technologie blockchain, est porté par la Direction générale des Entreprises (DGE) et soutenu par le SGMAP dans le cadre de l’appel à projets pour le développement de services publics innovants à l’intention des start-ups de la French Tech. Il a été réalisé en mode agile entre mars et octobre 2018, en partenariat avec la start-up Blockchain Partner qui en a notamment réalisé les développements techniques.
Ce lancement s’inscrit dans la ligne du programme Action Publique 2022, lancé par le Premier ministre Edouard Philippe, et fait suite aux annonces de Bruno Le Maire, Ministre de l’Economie et des Finances, qui souhaite placer la France en pointe des sujets blockchain.
La Blockchain des Fréquences est un exemple concret de la démarche d’innovation des institutions publiques françaises en matière de blockchain et de de leur capacité à anticiper et accompagner la transformation numérique de la société.
Contacts presse : ….
En savoir plus
Télécharger le Communiqué de presse ICI
Présentation de la Blockchain des fréquences ICI
Le point 1.6 de l’ordre du jour de la CMR-19 : cadre réglementaire pour les constellations
dans les bandes 40/50 GHz (bandes Q/V)
Nous avons eu l’occasion à de nombreuses reprises de parler dans cette newsletter des projets de constellations de satellite, par exemple en novembre 2017 où nous présentions la chaîne de montage Airbus des satellites OneWeb. La multiplication de ces projets de constellations s’accompagne d’une montée en fréquences afin d’y trouver la ressource spectrale nécessaire. Ainsi, même si la plupart des projets prévoient aujourd’hui d’utiliser les bandes 20/30 GHz (bande « Ka »), ou, dans le cas de OneWeb, la bande 11/14 GHz (bande « Ku »), les bandes 40/50 GHz (bandes « Q/V ») sont envisagées par de nombreux projets. En effet plus de ressources pour les liaisons utilisateurs dans les bandes plus basses peuvent être dégagées en recourant à ces hautes fréquences pour les liaisons d’infrastructure.
Un enjeu réglementaire apparaît alors pour les projets de constellations non-géostationnaires : assurer la protection de l’orbite géostationnaire, largement utilisée pour les communications spatiales et la radiodiffusion par satellite. Au début des années 2000, le Règlement des Radiocommunications (RR) proposait un nouveau cadre réglementaire qui plaçait les satellites non-géostationnaires dans un statut secondaire par rapport aux satellites géostationnaires. Ces constellations ne pouvaient pas brouiller les réseaux géostationnaires au-delà d’un niveau fixé à l’avance. Cette limite procurait ainsi une sécurité juridique favorable au développement des constellations…..
Futur système de communication rail (FRMCS) : quelle technologie ? Quelles fréquences?!
Afin de préparer l’après-GSM-R (le système de communication ferroviaire), les acteurs du rail s’investissent dans la définition du futur système. Le choix de la technologie (4G ? 5G ?) et du mode d’exploitation du réseau figurent parmi les questions en cours d’étude. Certains pays, à l’image du Danemark ou de la Slovénie, plaident par exemple pour un recours aux réseaux d’opérateurs mobiles commerciaux, compte tenu notamment du potentiel de la 5G pour répondre aux besoins des « verticaux ». S’il n’appartient pas au gestionnaire du spectre radio de répondre à ces questions, il doit dès aujourd’hui identifier les fréquences-cibles en intégrant les contraintes de migration du GSM-R vers le futur système et les enjeux d’une utilisation harmonisée à l’échelle européenne, dans un contexte d’interopérabilité ferroviaire et d’ouverture à la concurrence.
L’Agence anime depuis 2017 le groupe en charge de ces travaux à la CEPT. Avec l’ensemble des acteurs concernés (fournisseurs d’équipements radio, opérateurs ferroviaires, agence européenne du rail, union internationale des chemins de fer, etc.), ce groupe doit définir d’ici 2020 les conditions techniques harmonisées pour l’utilisation des bandes……
De nouvelles perspectives pour la 5G : les fréquences « basses » !
La préparation de la prochaine conférence mondiale des radiocommunications ( CMR -19), les initiatives de l’opérateur Vérizon aux Etats-Unis, mais aussi les récentes expérimentations en Corée lors des J. O. d’hiver ont cristallisé les débats sur la 5G dans les bandes millimétriques (au-dessus de 24 GHz). L’Europe, qui soutient l’utilisation de la bande 26 GHz pour la 5G, a déjà réorienté les débats en soulignant que la bande principale pour la 5G en Europe sera la bande 3,4-3,8 GHz.
Cependant, à l’image des autres régions du monde, l’Europe dispose d’un capital en fréquences harmonisés dans plusieurs gammes de fréquences plus basses et mieux adaptées à une couverture large et à une pénétration des bâtiments. Les conditions d’utilisation de certaines de ces bandes sont déjà « 5G-ready » : 700 MHz, 800 MHz mais également 1,5 GHz. En pratique, les opérateurs titulaires d’autorisations dans ces bandes pourront y déployer la 5G, sans intervention du régulateur, dès que les premiers équipements seront disponibles.
Par ailleurs, l’ANFR s’engage au côté de l’industrie dans l’adaptation des conditions d’utilisation des bandes 900 et 1800 MHz, 2 GHz et 2,6 GHz afin d’y permettre le déploiement de la 5G en tenant compte des usages actuels dans ces bandes et en bande adjacente….
Décision de licence concernant Ausaf UK Limited
À la suite d’une enquête, l’Ofcom a révoqué la licence de diffusion détenue par « Ausaf UK Limited pour Ausaf TV » , une chaîne destinée à desservir la communauté pakistanaise au Royaume-Uni, mais qui n’avait pas commencé à diffuser au moment de la décision de l’Ofcom.
Conformément à nos obligations permanentes en vertu de la loi de 1990 sur la radiodiffusion, l’Ofcom a ouvert une enquête sur le licencié afin de déterminer si les personnes en contrôle étaient «appropriées» pour détenir la licence.
Après avoir examiné attentivement tous les éléments de preuve disponibles, y compris les déclarations orales faites par le titulaire de permis, notre enquête a conclu que:
l’individu qui contrôlait « Ausaf UK Limited » avait des liens étroits avec les éditions pakistanaise et britannique du journal « Daily Ausaf, » dans lesquelles des articles étaient publiés, considérés comme des discours de haine et des incitations à commettre des actes criminels / terroristes; le preneur de licence a fourni des informations trompeuses ou fausses sur les liens entre le « Daily Ausaf et Ausaf UK Limited » au cours de notre enquête; et le titulaire de licence risque de violer nos règles de diffusion; par exemple, en diffusant un contenu similaire à celui publié dans le « Daily Ausaf sur Ausaf TV », ce qui serait préjudiciable aux téléspectateurs si la titulaire était autorisée à diffuser. Cela remet en question la confiance du public dans l’activité de réglementation si l’Ofcom devait rester convaincu que la titulaire était apte à diffuser.
À la lumière de ces conclusions sérieuses, nous ne sommes plus convaincus que les personnes qui contrôlent « Ausaf UK Limited » sont aptes à détenir une licence de diffusion. Nous avons donc révoqué la licence.
La chaîne n’a pas commencé à diffuser et elle en sera désormais empêchée.
Tous les détails sur cette décision sont disponibles ; ICI
Facebook James Pastorfield a partagé un lien.
Brazil gets 60m and other new bands in 90 days… and more!
ANATEL, the Brazilian telecoms regulator has produced an updated band plan, effective in 90 days, which releases 60m to their amateurs.
This is the WRC-15 Secondary allocation 5351.5 to 5366.5 kHz with 25W EIRP for Class A operators.
Traduction
Le Brésil obtient 60 m et d’autres nouveaux groupes en 90 jours… et plus encore !
Anatel, le régulateur brésilien des télécommunications a produit un plan de bande mis à jour, efficace en 90 jours, qui libère 60 m à leurs amateurs.
Il s’agit de l’allocation secondaire WRC-15 de 5351.5 à 5366.5 Khz avec 25 w EIRP pour les opérateurs de classe A.
En outre, ils ont reçu deux nouveaux groupes-135 KHz (1 w pire) et 472 Khz (5 w pire).
Et il y en a plus – la bande de 160 m au Brésil a été élargie à partir de 1850 Khz, ce qui le fait maintenant 1.8-2 MHz et la bande de 80 m devient maintenant 3.5-4 Mhz (précédemment 3.8 MHz).
Les nouvelles fréquences devraient entrer en vigueur dans la semaine commençant le lundi 26 novembre 2018.
Déclaration de Anatel Résolution 697 du 28 août 2018 ICI
Merci : Py2xb, Anatel, w8gex
73 Paul Gaskell, g4mwo
Éditeur, la lettre d’information de 5 MHz
Conseil des ministres belge le 13 juillet 2018
L’ UBA de Belgique rend compte de l’approbation d’un décret qui nécessitera la possession d’un certificat d’exploitation avant d’utiliser des stations maritimes ou Radioamateurs
Une traduction en anglais de Google se lit comme suit:
Le Conseil des ministres, sur proposition du ministre des Télécommunications Alexander De Croo, approuve un projet d’arrêté royal sur les radiocommunications privées et les droits des utilisateurs pour les réseaux et réseaux fixes à ressources partagées.
Le projet introduit plusieurs nouveaux concepts, ainsi qu’un nouvel appendice, afin de clarifier différents thèmes, d’éviter toute difficulté d’interprétation et d’assurer la conformité des règles avec les normes internationales spécifiques actuelles.
Une nouvelle structure est également en cours d’élaboration dans un souci de lisibilité et de clarification, certaines dispositions étant regroupées par thème afin de faciliter la compréhension des règles d’octroi des permis et de surveillance des stations.
De plus, la conception intègre les communications radio-maritimes et les communications radio sur les fréquences de l’aviation, ainsi que les règles applicables aux Radioamateurs. Par exemple, une obligation est d’insérer un certificat d’exploitation avant d’utiliser des stations maritimes, des stations radioamateurs ou des stations utilisant des fréquences aériennes.
L’avant-projet est soumis à la Commission de consultation, puis au Conseil d’Etat pour avis.
Finlande: nouvelles fréquences pour les radioamateurs prévues
La société nationale finlandaise, la SRAL, rapporte que l’Autorité finlandaise de réglementation des communications prévoit d’apporter des modifications à la table de fréquences nationale
Il semble que les Radioamateurs Finlandais obtiendront de nouvelles attributions secondaires à 1855-1861 kHz et 1906 à 1912 kHz.
Il y aura suppression des fréquences dans la sous-bande 5250-5450 kHz et inclusion de la bande WRC-15 5351,5-5366,5 kHz et il semblerait que les menaces pesant sur 1240-1300 MHz et 3400-3408 MHz soient atténuées.
Une traduction en anglais de Google se lit comme suit:
L’Autorité finlandaise de réglementation des communications a envoyé un projet d’énoncé du spectre radioélectrique de fréquence et son tableau de fréquences jusqu’à la fin de 2018-2019. Heureuse nouvelle pour les amateurs finlandais, les ouvertures de 160 mètres sortiraient, et la menace de 23 centimètres serait atténuée et une menace du 10 centimètres allait s’aggraver. Ces questions ont été discutées lors d’une réunion entre SRAL et FICORA en mai dernier, et ces résultats ont été rapportés lors du camp d’été de Nurmes à l’heure des questions du gouvernement.
Les amendements aux radioamateurs sont les suivants:
Ajouter aux Radioamateurs une attribution secondaire pour les bandes de fréquences 1855-1861 kHz et 1906-1912 kHz, conformément au Règlement des radiocommunications, à la fin de l’opération de transport primaire. Cela signifie permettre des trous dans la zone de 160 mètres en Finlande pour le trafic amateur. Les pouvoirs aux ouvertures autorisées sont les mêmes que ceux utilisés actuellement par les bandes 60 mètres autorisées par la législation secondaire, qui sont basées sur les restrictions du Règlement international des radiocommunications.
Retrait de la sous-bande 5250-5450 kHz et 5398,600 kHz. Largeur de transmission ± 3 kHz. Il s’agit de la fin de l’utilisation de licences de point de vue de 60 mètres pour les anciens clubs depuis que la Conférence mondiale des radiocommunications de la CMR-2015 a accordé aux radioamateurs une attribution internationale de 60 mètres pour la bande passante 5351,5-5366,5 kHz.
Les attributions d’amateur des bandes 1240-1300 MHz sont ajoutées pour indiquer que le plan est en préparation.
Les données sur les sous-zones 3400-3408 MHz ont été supprimées au 31 décembre 2018. Cela signifie donc que l’on continue d’utiliser la bande passante de 10 cm pour le trafic radioamateur.
Donc, ce n’est pas une règle encore en vigueur et aucune nouvelle fréquence ne doit encore fonctionner. La date exacte de l’entrée en vigueur du nouvel ordre de radiofréquence sera communiquée ultérieurement lorsque la date sera confirmée. Même avant l’entrée en vigueur, l’ordre des radiofréquences sera notifié dans l’UE.
Source SRAL Info ICI
ICI
Modification de la licence de radio norvégienne
Les modifications apportées à la licence Radioamateur de Norvège sont entrées en vigueur le 10 août 2018!
- 1 000 watts sont autorisés sur l’allocation primaire 50-52 MHz.
- 1 000 watts peuvent désormais être utilisés en VHF / UHF pour le rebond de la lune (EME) et le trafic sur météorites sans nécessiter de permission individuelle.
Les personnes non autorisées peuvent utiliser du matériel radio pour des activités Radioamateurs par l’intermédiaire d’un groupe, d’un club ou d’une association dans le cadre du recrutement et de la formation à la licence Radioamateur.
Malheureusement, il y a eu de mauvaises nouvelles: les transmissions Radioamateur des aéronefs sans équipage, par exemple les drones et les avions modèles, sont interdites.
Nouveau document de licence ICI
Nouvelles NRRL dans Google English ICI
La Norvège a une seule classe de licence Radioamateur. On pense que le seul document d’examen de 28 questions (note de passage 21), pour obtenir l’équivalent d’une licence CEPT de classe 1 (égale à UK Full), peut être le plus court de tous les pays de la CEPT.
La société nationale norvégienne NRRL signale qu’un récent stage de formation à Bergen a nécessité 12 soirées d’étude à partir de zéro (environ 24 heures au total) et a atteint un taux de réussite impressionnant de 95%. ICI
Exemple de papier d’examen norvégien ICI