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Mercredi 1er février à 9 h : suivez en direct l’atelier du BEREC consacré à l’IoT

  • Un an après la publication de son rapport sur l’internet des objets, le BEREC (groupe des régulateurs européens), que l’Arcep préside en 2017, organise, mercredi 1er février, de 9 h à 17 h, un atelier d’experts sur le thème « Enabling the IoT » (« Permettre l’internet des objets »). 
  • Au programme : les questions de vie privée, de sécurité, de ressources rares (numéros et fréquences), d’interopérabilité et de connectivité, mais aussi une revue de la diversité des modèles commerciaux ainsi que des cas d’études dans le secteur des transports et de l’énergie.
  •   Sébastien Soriano, président du BEREC, ouvrira la journée tandis que Wilhelm Eschweiler, président du BEREC en 2016, clôturera les échanges.

L’atelier sera diffusé en direct sur le site du BEREC et en VOD sur sa chaine YouTube.

Le programme
> Le site du BEREC
> La chaine YouTube du BEREC

Enfin, pour mémoire, l’Arcep a publié, en novembre, son livre blanc « Préparer la révolution de l’Internet des objets » (deux documents et un livret de synthèse) :

> Une CARTOGRAPHIE des ENJEUX de la révolution de l’internet des objets / A mapping of Arcep and its partners’ understanding of the issues pertaining to the internet of things (document 1)

> Les ORIENTATIONS de l’Arcep pour inventer une régulation pro innovation / Arcep’s roadmap to develop a pro-innovation regulation (document 2)

> Le LIVRET synthétisant les enjeux et chantiers de l’Arcep dans ce domaine / Summary in a concise booklet

Service Communications de l’ARCEP

Une expérimentation vient d’être lancée à Annecy le 11 janvier 2017 pour tester le déploiement, sur une zone délimitée, de petites antennes de réseaux mobiles à faible puissance installées sur du mobilier urbain. Cette expérimentation, qui va durer un mois, a pour objet de tester la performance de ce nouveau réseau, qui préfigure les réseaux de demain en matière de téléphonie mobile.
L’étude, pilotée par l’Agence nationale des fréquences (ANFR), s’inscrit dans le cadre d’une réflexion générale de déploiement à grande échelle d’un réseau d’antennes à faible puissance venant compléter le réseau mobile actuel, essentiellement constitué d’antennes dites « macro ». Cette évolution permettra d’améliorer la couverture et la connectivité pour tous sur tout le territoire, à l’heure où la population utilise de plus en plus les réseaux mobiles pour communiquer, s’informer,  se distraire.  Il est en effet estimé que d’ici 2020, le trafic mobile en France sera multiplié par 8 à 10 environ. C’est également un enjeu pour les collectivités locales car l’utilisation du mobilier urbain comme support de connectivité leur offrira de nouveaux services innovants en faveur de la « ville intelligente ».
Cette étude débute dans la ville d’Annecy, sur le réseau de l’opérateur Orange, par une première expérimentation de cinq petites antennes intégrées dans des abribus et des mobiliers urbains pour l’information JCDecaux, à proximité du Lac d’Annecy.
Cette expérimentation vise à mesurer l’apport de ces petites antennes pour la connectivité de la population. Concrètement, les résultats permettront de vérifier s’il y a une amélioration de la couverture 4G et des débits utilisés a été constatée et dans quelle proportion.
L’expérimentation a également pour objectif de procéder à des mesures et des modélisations de l’exposition aux ondes radio dans l’objectif de mieux évaluer l’impact de l’ajout de ces petites antennes à faible puissance.
Des expérimentations similaires avec des petites antennes seront également menées au cours du 1er semestre 2017 sur les réseaux des opérateurs Bouygues Telecom et SFR dans d’autres municipalités. L’ANFR réalisera un bilan préliminaire des résultats obtenus à l’issue de cette première expérimentation et un bilan global mi-2017.
Pour en savoir plus, consultez notre dossier de presse.

Vous pouvez cliquez sur la carte

sur le site de F4EED

Consultation publique : premier atelier le 19 janvier 2017
 
L’ANFR vous invite à participer au premier atelier, organisé dans le cadre de la consultation en ligne sur l’évolution des usages sans fil et son impact sur la gestion des fréquences.

Thématique : « Bandes libres et partage des fréquences : quel avenir pour les objets connectés, le wifi et la 5G ? »
Date : Jeudi 19 janvier 2017 – 10h-12h (café d’accueil dès 9h30)
Lieu : Les Espaces du Liberté Living Lab, Grand atelier – 9, Rue d’Alexandrie – 75002

Inscription obligatoire.

Source Twitter ANRPFD/ANFR

Découvrez la fabuleuse histoire des fréquences en bande dessinée ICI  !

Source Twitter ANRPFD/ANFR

Voeux de l’ANFR: Célébration des 20 ans de l’ANFR

L’ANFR a fêté lundi 16 janvier ses 20 ans d’existence, au cours d’une cérémonie organisée au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris.
Cet anniversaire a été l’occasion pour Jean-Pierre Le Pesteur, Président du conseil d’administration, et Gilles Brégant, Directeur général, d’évoquer l’histoire de l’Agence et son avenir.
En effet, en vingt ans, l’ANFR a joué un rôle important dans un grand nombre d’innovations : le déploiement des trois générations de réseaux mobiles (2G, 3G, 4G), la modernisation de la diffusion de la télévision, la sécurisation des moyens de transport grâce, par exemple, au GSM-R pour les trains. L’ANFR a également, au cours de ces 20 dernières années, préparé et négocié au niveau international les positions françaises permettant aux industriels français de bénéficier d’un accès favorable au spectre pour déployer leurs projets. Elle a également contribué à la sécurité en mer avec la VHF et au bon déroulement de grands événements internationaux.
Aujourd’hui, de plus en plus de services innovants dépendent de l’accès au spectre et l’Agence effectue un travail important de prospective pour anticiper ces nouveaux usages et les accompagner. C’est d’ailleurs l’objet de la consultation en ligne sur le plan stratégique, qui recueille des contributions sur des sujets aussi divers que la 5G, les transports connectés ou l’internet des objets.
A l’occasion de cette cérémonie, et pour illustrer les enjeux du spectre, l’ANFR a présenté une bande dessinée, « la fabuleuse histoire des fréquences », qui illustre l’essor des usages sans fil, de la découverte de l’électromagnétisme jusqu’à nos jours. Vous pouvez d’ores et déjà la consulter en ligne en cliquant sur ce lien.

La Fédération Internationale de Handball a confié à la France l’organisation du 25e Championnat du Monde Masculin de handball, qui a débuté. Huit villes réparties sur tout le territoire – Paris, Nantes, Rouen, Metz, Lille, Albertville, Montpellier et Brest – accueillent le grand événement sportif mondial du début de l’année 2017.
Dans le cadre de cet événement, l’Agence se mobilise pour coordonner les fréquences libres PMSE audio, et assurer le contrôle des matériels radioélectriques lors de deux matchs : le match d’ouverture le 11 janvier 2017, et la demi-finale le 26 janvier 2017, sur le site de Paris Bercy.

Pour en savoir plus, consultez notre page explicative.

Pendant l’année 2016, 8 110 sites 4G ont été autorisés, soit une moyenne de 32 sites par jour ouvrable. Plus de 6 500 sites
Au 1er janvier 2017, 31 180 sites sont autorisés au total, dont 27 090 en service, pour la téléphonie mobile très haut débit (4G) tous opérateurs confondus. La progression des demandes d’autorisation de sites 4G est restée stable en décembre avec une hausse de 2,2 % (2,9 % le mois dernier). Les mises en service de sites 4G ont été très soutenues avec une croissance globale de 5,5 % (2,3 % le mois dernier).
En France, 4 bandes de fréquences permettent de fournir un service 4G en France :
  • 22 576 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 800 MHz (+ 2,1 % sur un mois).
  • 17 261 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 1 800 MHz (+ 4,7 % sur un mois).
  • 20 381 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 2,6 GHz (+ 2 % sur un mois).
  • 480 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 700 MHz (+ 0,6 % sur un mois).
  • En décembre, les mises en service en bande 800 MHz ont été soutenues avec une croissance de 9 % (5,5 % pour l’ensemble des bandes de fréquences).
  • Pour mémoire, la bande 700 n’est actuellement disponible pour le très haut débit mobile que dans quelques zones ouvertes le 6 avril dernier. Cliquez ici pour plus d’informations sur ces zones et les prochaines phases de déploiement.

De nouvelles fréquences pour les territoires, les entreprises, la 5G et l’innovation

L’Arcep lance, jusqu’au 6 mars, une consultation publique, dans laquelle elle interroge les acteurs sur les usages à venir dans plusieurs bandes de fréquences, dont les bandes 2,6 GHz et 3,5 GHz.
Accès internet à très haut débit par voie hertzienne dans les zones où le déploiement de réseaux filaires est difficile, services mobiles ouverts au public, en 4G et demain en 5G, évolution vers le très haut débit des réseaux mobiles professionnels (PMR), numérisation des entreprises, essor de l’Internet des objets: ces bandes de fréquences sont particulièrement adaptées aux usages de demain.
La consultation a pour objectif de recenser les besoins, d’identifier les bandes de fréquences pertinentes pour chaque usage et d’explorer les modalités d’attribution.
Les enseignements tirés de ces expérimentations et les contributions à la consultation publique, permettront à l’Arcep de déterminer au mieux comment les bandes 2,6 GHz et 3,5 GHz pourront contribuer, à court terme, au déploiement du très haut débit fixe et des réseaux PMR et, à moyen terme, au déploiement de la 5G.
L’Arcep propose ainsi d’identifier et de permettre l’attribution, dès le deuxième semestre 2017, de 40 MHz de la bande 2,6GHz pour les réseaux PMR et de 40;MHz de la bande 3,5;GHz pour le très haut débit fixe par voie hertzienne dans les zones rurales. Le reste de la bande 3,5GHz serait rendu accessible dans un second temps pour la 5G lorsque la technologie sera plus mature. La consultation publique permettra de confirmer ce schéma ou d’établir, le cas échéant, un schéma alternatif.

  • Communiqué de presse ICI

Arcep / Communication

Le risque d’instabilité aux frontières de l’Union européenne a été illustré par des évènements récents, tels la prise de contrôle de la Crimée par la Fédération de Russie et le conflit armé en Ukraine. Dans ce contexte, le rôle de l’OTAN est de contribuer, comme il le fait depuis sa création, à la stabilité de notre continent grâce à ses capacités politiques, pour prévenir les conflits, et militaires, pour des opérations de gestion de crise.  Au sein de l’OTAN, de  multiples actions de coopération entre les 28 pays membres et les 24 pays partenaires permettent de doter l’Alliance des moyens adaptés à ses ambitions.
Dans le domaine des fréquences, les représentants militaires mais également civils s’investissent ainsi au sein d’une structure interne, la CAP 3 fréquences, pour proposer les orientations de l’Alliance en matière de gestion du spectre. La coopération active de l’affectataire Défense, investi dans les structures militaires, et de l’ANFR, représentant la composante civile au nom de l’ensemble des affectataires, permettent d’y promouvoir les intérêts français. …

Point sur la préparation de la CMR-19 

Véhicules connectés, 5G, constellations de satellites non-géostationnaires, connectivité ou sécurité des bateaux et des avions : tous ces sujets seront à l’ordre du jour de la Conférence mondiale des radiocommunications ( CMR ) qui se tiendra en novembre 2019 dans le cadre de l’Union internationale des télécommunications ( UIT ). Pour se préparer à cet évènement où plus de 160 pays négocieront l’avenir de la réglementation mondiale des fréquences, les pays membres de la Conférence européenne des postes et télécommunications (CEPT) se sont réunis du 6 au 9 décembre 2016 à Feusisberg, en Suisse, pour coordonner leurs positions. 

A ce stade de la préparation – il reste tout de même trois ans avant la CMR ! – bien des positions européennes restent encore très préliminaires. Toutefois, sur plusieurs thèmes, on voit déjà se dessiner les principaux axes que l’Europe soutiendra durant les travaux préparatoires qui mèneront à la CMR -19 : 

  • pour la 5G, la CEPT recommandera l’identification de la bande 26 GHz (24,25-27,5 GHz) mais étudiera aussi toutes les autres possibilités suggérées par la CMR -15, notamment les bandes 32 GHz (31,8-33,4 GHz) et 42 GHz (40,5-43,5 GHz) ;
  • la CEPT promouvra à l’échelle internationale les bandes 5,9 GHz et 63 GHz pour répondre aux besoins en spectre des véhicules connectés ; 
    afin d’améliorer la sécurité et la connectivité des transports maritimes, la CEPT proposera l’intégration d’une composante satellitaire dans le système d’échange de données en VHF (VDES), dont la composante terrestre a été définie par la CMR -15 ; 
  • toujours en matière satellitaire, la CEPT promeut l’utilisation des liaisons par satellite dans la gamme 30/20 GHz pour connecter les moyens de transports tels qu’avions ou bateaux. Elle cherchera également à définir un cadre réglementaire pérenne et favorable à l’investissement pour les constellations de satellites non-géostationnaires.  

L’ANFR représente la France dans l’organisation de la préparation européenne de la CMR -19 au sein de la CEPT. Elle coordonne notamment les points de l’ordre du jour de la CMR qui traitent de l’évolution du système mondial de détresse et de sécurité maritime, des systèmes de transport intelligents pour les véhicules connectés (pour ces deux points, en coopération avec l’Allemagne) et de la possibilité d’attribuer une nouvelle bande de fréquences à 52 GHz pour les communications satellitaires. Toujours pour la France, le CNES coordonne la préparation européenne du point qui traite de la pérennité à long-terme de l’utilisation des bandes de fréquence autour de 400 MHz pour les plateformes de collecte de données scientifiques (par exemple, celles du système ARGOS. Alexandre Vallet, responsable du département réglementation et ressources orbite-spectre à l’Agence, est également l’un des deux vice-présidents du groupe de la CEPT préparant la CMR -19 : le « Conference Preparatory Group (CPG) ». 

Source ANFR ICI

Fréquence radio 162 kHz : appel à manifestation d’intérêt
Date de publication : mercredi 21 décembre 2016
Assemblée plénière du 7 décembre 2016
En application des dispositions de l’article 26 de la loi du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication modifiée et à la demande du Gouvernement, le CSA a décidé de retirer à Radio France l’usage de la fréquence 162 kHz pour la diffusion de  France Inter. Il a pris acte des modalités de communication et d’accompagnement du public prévues par Radio France dans le cadre de l’arrêt de la diffusion de France Inter sur cette fréquence.
Vous trouverez les fréquences FM que vous pouvez recevoir grâce à l’application du CSA Ma Radio FM ou consulter l’outil mis à disposition par Radio France pour trouver les fréquences de ses services.
La fréquence 162 kHz appartient à la gamme des grandes ondes et permet de couvrir avec un seul émetteur une large partie du territoire métropolitain.  Toutefois la qualité d’écoute n’est pas comparable à celle de la FM : le son diffusé en grandes ondes est monophonique alors qu’il est souvent stéréophonique en FM.
Afin de déterminer si le Conseil devait lancer les procédures nécessaires à la mise en appel de la fréquence 162 kHz, il a décidé de lancer un appel à manifestation d’intérêt pour la diffusion d’un service de radio sur la fréquence 162 kHz.
Les réponses sont attendues au plus tard le 16 janvier 2017.

Téléchargez ci-dessous l’appel à manifestation d’intérêt.

Radioamateurs – ANFR – Plan Stratégique
Radioamateurs Les radioamateurs pratiquent une activité de loisir à caractère technique permettant d’expérimenter et d’acquérir les techniques de transmission et d’établir des liaisons hertziennes avec d’autres radioamateurs du monde entier.…
Source Facebook ANFR/F1EFU/ANRPFD
 
 
 

En tant que Radioamateurs, vous allez recevoir très prochainement les titres de paiement relatifs à votre licence annuelle pour l’année 2017.
Nous vous rappelons que :

  • pour les règlements par chèque, le lieu de paiement reste le Centre d’encaissement de Lille. Joindre au chèque, le talon optique à découper sur le titre de paiement ;
  • pour les règlements par virement, le compte de virement figure au verso du titre de paiement et correspond au compte de la DCST à Châtellerault.

L’Agence nationale des fréquences rappelle qu’elle prépare les données de facturation, mais que c’est la Direction des créances spéciales du trésor (DCST) qui est responsable des émissions et des recouvrements des titres relatifs à la licence annuelle de radioamateur.

Source ANFR ICI

 AUTORISATION DU RELAIS DE RAI (F1ZKC) PAR L’ANFR

En date du 17/12/2016, sur le château de la Desverie à RAI (61).

Fréquence de sortie : 145.7375 MHz

Fréquence d’entrée : 145.1375 MHz

Source sur le site de F4HAQ ICI