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TDK annonce la mise au point de sa série TDK-Lambda PH-A280 de modules d’alimentation DC-DC à fortes tensions d’entrée.
Deux fois plus petits que leurs prédécesseurs, ces nouveaux modules sont aussi plus efficaces de 5 %. Leur rendement atteint 90 %.
La limite de tension d’entrée a été portée à 425 Vdc, pour permettre au module de répondre aux besoins d’une architecture d’alimentation sous 380 Vdc, dans les centres de données et les installations de télécommunication. Le recours à des tensions aussi élevées permet de limiter les pertes, en réponse aussi aux réglementations en matière de spécification des dispositifs, de configuration des systèmes, de sécurité et de spécification des composants et des dispositifs, édictées par l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), le Secteur de la normalisation des télécommunications (UIT-T) et la Commission Électrotechnique Internationale (CEI).
Refroidis par conduction, ces modules se prêtent à de multiples applications dans les domaines de l’industrie et des énergies renouvelables, notamment pour les équipements extérieurs refroidis par eau, scellés hermétiquement, sans ventilateur ou de taille compacte.
Disponibles avec des puissances de sortie de 50 à 150 W et des tensions de sortie de 5, 12, 24 et 48 Vdc (ajustables à ±20 %), les modules PH-A280 sont au format industriel quart de brique (37,2 x 12,7 x 58,3 mm). la suite sur Elektor ICI
Pour réduire l’empreinte des alimentations de 25 W à 400 W, Linear propose un nouveau circuit de commande de largeur d’impulsion (PWM) à mode courant, au primaire du transformateur, optimisé pour fonctionner en tant que contrôleur à conversion directe, synchrone, avec réinitialisation par fixation active du niveau de la tension. Son rendement atteint 95 %, sur une gamme de tensions d’entrée de 8,5 V à 100 V et avec puissance jusqu’à 400 W. Une fixation programmable du niveau volt-seconde procure au transformateur une marge de sécurité de tension pour empêcher sa saturation et protéger le MOSFET.
Le LT3753 régule la tension de sortie VOUT à ±5 %, sans optocoupleur ; avec optocoupleur, sa précision passe à ±1,5 %. Le LT3753 envoie un signal de commande, via un transformateur d’impulsions, à un contrôleur de MOSFET au secondaire pour la temporisation du redressement synchrone. Il peut également être utilisé dans des applications d’autocontrôle (quand il fonctionne sur une gamme de tensions d’entrée étroite) où les MOSFET au secondaire sont commandés par les impulsions du transformateur de puissance. De plus, le LT3753 peut être utilisé dans des schémas non synchrones, requis dans les applications de tension plus élevée….la suite de l’article sur Elektor ICI
Le gaspillage d’énergie, c’est jeter l’argent par les fenêtres. Et si désormais les fenêtres permettaient justement d’économiser l’énergie ? Il existe un nouveau type de fenêtre, auto-teintante, qui fait office de batterie rechargeable. Pour l’instant, l’énergie stockée suffit pour alimenter de l’électronique de faible puissance, comme une LED.
Cette fenêtre électrique peut passer d’une teinte bleu clair en plein jour, diminuant de moitié environ la pénétration de la lumière, à la transparence totale durant la nuit (ou à la demande). Son principe repose sur un nouveau procédé mis au point par l’équipe du professeur Sun de l’Université Technologique de Nanyang. La fenêtre électrochrome est formée d’un électrolyte liquide entre deux feuilles de verre recouvertes d’oxyde d’indium-étain. L’une est couverte d’une couche supplémentaire d’un pigment bleu de Prusse, tandis que l’autre est reliée à une mince bande de papier d’aluminium. C’est le bleu de Prusse qui donne à la fenêtre sa teinte bleue quand elle est complètement chargée…la suite de l’article d’Elektor ICI
Ce chargeur à thyristors vous permettra de recharger des batteries au plomb de 6, 12 ou 24 volts. Son courant de charge est réglable de 0,1 ampère jusqu’à un maximum de 5 ampères. Il est doté d’un circuit de détection permettant l’arrêt automatique de la charge lorsque la tension nominale a été atteinte.
Avec ce projet, nous allons vous démontrer comment on peut réaliser un pont redresseur contrôlable en courant et en tension en utilisant deux thyristors seulement.
A la sortie de ce chargeur, nous pouvons prélever une tension pour recharger une batterie au plomb de 6, 12 ou 24 volts avec un courant constant que nous pouvons régler de quelques milliampères jusqu’à un maximum de 5 ampères.
Sur ce chargeur de batteries, nous avons incorporé un contrôle automatique de charge. En fait, si l’inverseur S2 est fermé, une fois la charge de la batterie achevée, le pont redresseur cesse de fournir la tension de charge et ne la fournira à nouveau que lorsque la tension de la batterie descendra en dessous de sa valeur de tension minimale. Grâce à cet automatisme, nous pouvons connecter tranquillement le chargeur à la batterie déchargée de notre voiture et ne plus y penser car, la charge terminée, la batterie ne recevra plus aucun courant…..suite de l’article sur le site schema-electronique.net ICI
Le temps de charge de leur batterie est sans aucun doute l’inconvénient majeur que partagent téléphones mobiles, ordinateurs portables et voitures électriques. Qui ne rêve de recharger son téléphone en une demi-minute ? Grâce aux molécules artificielles, ce rêve pourrait devenir réalité, plus précisément grâce à la création de « nanopoints », des molécules peptidiques bio-organiques. Il s’agit de molécules comprenant au moins deux résidus d’acides aminés reliés par la liaison entre le groupe amine (NH2) d’un acide aminé et le groupe acide carboxylique (COOH) d’un autre acide aminé, formée par élimination d’une molécule d’eau (H2O). Ces nanopoints modifient les réactions d’une batterie pour permettre (un peu comme une éponge très dense qui ne fuirait pas) l’absorption rapide et surtout la conservation de l’électricité…suite de l’article d‘Elektor ICI
Le LTM4623 est un régulateur abaisseur (3 A) en boîtier LGA ultrafin de 1,8 mm, de seulement 6,25 mm x 6,25 mm de la série µModule (lire micromodule) de Linear Technology. Avec la pâte à souder, l’épaisseur du boîtier est inférieure à 2 mm, ce qui correspond aux contraintes de hauteur de nombreux PCIe (bus PCI pour interconnexion rapide d’un composant périphérique), cartes mezzanines avancées (AMC) pour cartes au standard ATCA (Advanced Telecommunication Computing Architecture) dans les systèmes embarqués. Monté au verso de la carte, le LTM4623 libère de l’espace au recto pour d’autres composants. Il fonctionne de 4 V à 20 V et régule avec précision une tension de sortie de 0,6 V à 5,5 V, avec une erreur totale max. de 1,5 %…..la suite de l’article sur Elektor ICI
Les batteries alourdissent le coût des voitures électriques autant qu’elles lestent le véhicule électrique lui-même. Sans oublier les limites qu’elles imposent à l’autonomie des véhicules électriques par rapport à celle des véhicules à essence. Un nouveau film supercondensateur récemment mis au point pourra-t-il changer la donne ? Constitué d’une couche d’électrolyte prise entre deux couches de graphène, ce condensateur est capable de libérer une grande quantité d’énergie en un court laps de temps, un point essentiel pour l’accélération.
Le film capacitif serait intégrable dans plusieurs zones du véhicule (panneaux de carrosserie, toit, plancher, portières) en quantité suffisante pour fournir au véhicule l’énergie requise et permettrait de se passer d’une partie des batteries.
Plus écologique et plus économique que les batteries Li-Ion, il peut être complètement chargé en quelques minutes, là où il faut plusieurs heures pour une batterie classique ; hélas, il n’est pas (encore) capable d’accumuler autant d’énergie, mais les chercheurs américains et australiens à l’origine du projet n’ont pas dit leur dernier mot…la suite de l’article sur Elektor ICI
Pour la protection des batteries contre les erreurs de courants et de tensions, Linear Technology propose pour les systèmes de 2,7 V à 36 V le LTC4231, contrôleur à très faible courant de repos (IQ), permettant une insertion et un retrait à chaud de la carte ou de la batterie. Il commande un MOSFET-N externe pour une montée en douceur de la charge des condensateurs, évitant les étincelles, la détérioration des connecteurs et les surtensions. La consommation au repos de seulement 4 µA en fonctionnement tombant à 0,3 µA à l’arrêt. Afin d’assurer un fonctionnement à faible intensité, le diviseur à résistances séries, de sous-tension et de surtension, est connecté à la masse de manière échantillonnée, divisant l’intensité moyenne par 50. Le LTC4231 offre une solution durcie, compacte, de très faible consommation pour l’insertion à chaud et la protection de la batterie, spécialement dans un contexte d’économie d’énergie (photovoltaïque ou récupération d’énergie)…lasuite de l’article sur Elektor ICI
En parcourant le net j’ai trouvé un article intéressant concernant le changement de la pile de sauvegarde d’un transceiver qui peut s’appliquer à d’autres TRX.
Remplacement de la pile de sauvegarde du YAESU FT – 757 GX par F4ANN ICI
Source du Radioclub F6KFT
L’une des limites de l’adoption à grande échelle de l’énergie solaire se trouve, si du moins l’on veut obtenir un rendement efficace, dans l’incontournable multiplication des panneaux, jugés inesthétiques (à tort ou à raison). La donne serait sans doute toute autre sans cet obstacle. C’est précisément ce que semble annoncer la mise au point d’un concentrateur solaire totalement transparent, qui pourrait transformer une fenêtre (ou un écran) en une cellule solaire photovoltaïque.
Les cellules solaires, en particulier de type photovoltaïque, créent de l’énergie en absorbant des photons pour les convertir en électrons. Si un matériau est transparent, par définition, cela signifie que toute la lumière le traverse pour frapper l’arrière de l’œil. On a ici affaire à un concentrateur solaire transparent luminescent (TLSC). Le TLSC est composé de sels organiques qui absorbent des longueurs d’onde spécifiques non-visibles de lumière ultraviolette et infrarouge, puis émettent une autre longueur d’onde infrarouge (également non visible). Cette lumière infrarouge est guidée vers le bord du matériau, où de minces bandes (visibles en noir sur la photo) de cellule solaire photovoltaïque classique la convertissent en électricité.
Le rendement de la création des chercheurs de la Michigan State University est de l’ordre de 1 %, mais ils pensent pouvoir atteindre 5 %. Celui des concentrateurs non-transparents est d’environ 7 %. Ce ne sont pas des différences énormes, mais à plus grande échelle (chaque fenêtre d’un immeuble de bureaux par exemple), ce serait une autre histoire
Les batteries au lithium, étudiées actuellement, ne sont pas la seule piste susceptible d’offrir, à terme, une plus forte miniaturisation grâce à la réduction de l’encombrement des batteries. Le zinc est également en première ligne des solutions de remplacement du lithium-ion. À force d’amincissement, le fonctionnement des batteries lithium-ion finit par être compromis. C’est pourquoi Christine Ho, de chez Imprint Energy, s’est intéressée à la chimie du zinc. Celui-ci est stable et inoffensif pour l’homme, aucune gaine protectrice n’est nécessaire. L’emploi d’une membrane électrolyte polymère solide permet d’obtenir des batteries rechargeables. Les cellules sont minces et souples comme du papier, il est possible de les imprimer avec une imprimante industrielle ordinaire.
Imprint Energy a même mis au point un banc d’essai pour tester la flexibilité de ses produits et des batteries commerciales annoncées comme souples. Alors que les concurrents auraient cessé de fonctionner avant le millième cycle de flexion, les batteries d’Imprint seraient restées stables…..suite de l’article sur Elektor ICI
Le LT8705 est un contrôleur DC/DC, abaisseur-élévateur, synchrone, dont le rendement atteint 98 %. Il fonctionne avec des tensions d’entrée supérieures, inférieures ou égales à la tension régulée de sortie : sa gamme d’entrée s’étend de 2,8 V à 80 V, et la plage de sa tension de sortie fixe va de 1,3 V à 80 V. Il procède par redressement synchrone à quatre commutateurs et n’emploie qu’une seule inductance. La mise en parallèle de plusieurs circuits permet d’augmenter la puissance de sortie. Les nouvelles versions de classes H et MP sont garanties pour fonctionner, respectivement, sur les gammes de températures de jonction de –40°C à 150°C et de –55°C à 150°C.
Le LT8705 possède quatre boucles de contrôle pour réguler le courant et la tension d’entrée, ainsi que le courant et la tension de sortie. Le courant d’entrée et les boucles de régulation de la tension peuvent empêcher une surcharge des cellules solaires. La boucle de courant de sortie fournit un courant de sortie régulé pour un chargeur de batterie ou une source de courant. La fréquence de fonctionnement peut être choisie entre 100 kHz et 400 kHz, et peut être synchronisée avec une horloge externe. Le LT8705 utilise une architecture propriétaire de contrôle à mode courant pour un fonctionnement à fréquence constante, en mode abaisseur ou en mode élévateur et comprend quatre étages de commande de grille de MOSFET canal N, de puissance intégrés. L’utilisateur a le choix du fonctionnement entre le mode continu forcé, le mode discontinu et le mode en rafale (Burst Mode), pour optimiser le rendement en présence de charges faibles…..la suite de l’article d‘Elektor ICI
L’autonomie de nos appareils portables reste un sujet de désagrément malgré les progrès obtenus en matière de capacité des batteries. Une récente avancée technologique permet d’espérer un triplement de la longévité, grâce à une anode en lithium.
L’anode d’une batterie se décharge des électrons dans le cycle du courant. Dans une batterie au lithium-ion ordinaire, elle est généralement constituée de graphite ou de silicium. Le lithium est connu pour sa haute densité énergétique et sa légèreté, mais aussi pour les problèmes que pose son utilisation comme anode : des dépôts métalliques causent de graves problèmes de sécurité et sont responsables du faible rendement énergétique pendant les cycles de charge et de décharge. Cependant, le lithium serait le choix optimal en tant que matériau d’anode en raison de sa haute densité énergétique.
D’où l’intérêt des travaux de chercheurs de l’Université Stanford qui ont revêtu une anode en lithium métallique d’une barrière de protection spéciale, composée d’une structure en nid d’abeille de nanosphères de carbone creuses d’environ 20 nm d’épaisseur. Ce revêtement isole les dépôts métalliques de lithium…..La suite de l’article d’Elektor ICI
Linear Technology propose un nouveau régulateur linéaire de tension élevée, à faible tension de déchet, faible niveau de bruit, à décharge active de la sortie. Le circuit intégré délivre jusqu’à 200 mA de courant continu avec une chute de tension de 300 mV à pleine charge. Le LT3063 comprend un NMOS interne qui force la sortie au potentiel de la masse si la broche SHDN est à l’état bas ou si la tension d’entrée est absente. Cette décharge rapide de la sortie contribue à protéger la charge dans les applications requérant un conditionnement de l’alimentation à la fois au démarrage et à l’arrêt, comme les capteurs d’imagerie de haut de gamme.
À la gamme de tensions d’entrée de 1,6 V à 45 V correspond une tension de sortie réglable de 0,6 V à 19 V (±2 % en fonction de la ligne, de la charge et de la température). Un seul condensateur assure un fonctionnement programmable à faible niveau de bruit, de seulement 30 µVeff., sur la bande passante 10 Hz à 100 kHz, et également la montée progressive de la référence de tension, pour empêcher les surtensions en sortie à la mise en marche…….la suite sur Elektor ICI
Caractéristiques : LT3063
- Intensité de sortie : 200 mA
- Faible tension de déchet : 300 mV
- Décharge active de la tension de sortie à l’arrêt ou déconnectée de l’alimentation d’entrée
- Faible bruit : 30 µVeff. (10 Hz à 100 kHz)
- Faible courant de repos : 45 µA
- Large gamme de tensions d’entrée : 1,6 V à 45 V
- Réglage de la tension de sortie : 0,6 V à 19 V
- Tolérance sur la tension de sortie : ±2 % en fonction de la ligne, la charge et la température
- Un seul condensateur permet un démarrage progressif de la tension de référence et un faible bruit en sortie
- Stable avec des condensateurs à diélectrique céramique, de 3,3 µF
- Faible intensité à l’arrêt : inférieure à 3 µA
- Protection contre l’inversion de tension de la batterie et les courants inverses
- Limitation thermique et limitation de l’intensité par repliement de caractéristique
Un robot qui comprendrait ce qu’on lui demande aussi bien qu’un humain, ce n’est plus tout-à fait de la science-fiction, bientôt peut-être une réalité. Le PR2 sait faire chauffer de l’eau si on le lui demande. Là où la plupart des machines seraient perdues avec des instructions aussi vagues, celui-ci est capable de faire des déductions logiques s’il manque une étape ou si les instructions manquent de précision. C’est le langage mis au point au Robot Learning Lab d’Ashutosh Saxena (Université Cornell) qui permet au PR2 d’interpréter des instructions en langage courant.
Le robot, équipé d’une caméra 3D, analyse son environnement et identifie les objets, grâce à un logiciel de vision par ordinateur. Il a appris à associer des objets à leurs capacités : un récipient peut contenir et verser,….la suite de l’article d’Elektor ICI