Journal télévisé : Les Radioamateurs n’ont pas peur du blackout Selon l’USKA de Suisse, il y a encore près de 4000 Radioamateurs enthousiastes dans toute la Suisse. Ils se sont réunis le 18 septembre pour le concours suisse des urgences afin de tester leur matériel. Une traduction du post de l’USKA se lit comme suit : En cas de panne d’électricité, ils seront les seuls à pouvoir délivrer des messages urgents aux autorités ou à la population. Internet a ne les a pas tués, les radioamateurs du monde entier ne se sont pas empêtrés dans le filet. En Suisse ils sont près de 4000, à Genève on compte environ 150 radioamateurs passionnés. Attention, à ne pas confondre avec les CBers, qui dans les années 1980 avaient un micro et une grosse antenne sur leur voiture et ne sont pas autorisés à communiquer sur les mêmes fréquences. ‘Contrairement à CB, les radioamateurs doivent avoir une licence et passer un examen à l’Ofcom’, explique le Radioamateur Enio Castellan HB9RHI. Une passion qui pourrait être utile en cas de panne générale de courant. ‘Nous avons des batteries et des cellules solaires.’ On peut aussi envoyer des mails ou des photos compressées, mais bien sûr pas au même débit qu’en 4G. Surtout, la possibilité de communiquer avec le monde entier, puisque les ondes se reflètent dans les hautes couches de l’atmosphère. Des passionnés ont manifesté dimanche en les Bains des Pâquis pour tester les signaux qui seront le seul moyen de communication en cas de black-out. En cas de coupure de courant, les relais radio mobiles ne fonctionnent plus.
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