Quelques semaines seulement après l’Observatoire Chandra X-ray de la NASA a commencé ses opérations en 1999, le télescope pointé vers Centaurus A (Cen A, pour faire court). » Cette galaxie, à une distance d’environ 12 millions d’années lumière de la Terre, contient un jet gargantuesque soufflant loin d’un trou noir supermassif central. Depuis lors, Chandra a retourné son attention à cette galaxie, chaque fois que la collecte de plus de données. Et, comme une vieille photo de famille qui a été digitalement restaurée, avec de nouveau traitement techniques fournissent aux astronomes un nouveau regard sur ce vieil ami galactique. Cette nouvelle image de Cen A contient des données à partir d’observations, soit l’équivalent de plus de neuf jours et demi de dollars de temps, prises entre 1999 et 2012. Dans cette image, les plus bas d’énergie détecte les rayons X de Chandra sont en rouge, tandis que les rayons X d’énergie moyenne sont verts, et ceux de la plus haute énergie sont en bleu.
Comme dans toutes les images de Chandra de Cen A, celui-ci montre le jet spectaculaire de matériel « outflowing « – vue pointant du milieu en haut à gauche – qui est généré par le trou noir géant au centre de la galaxie. Ce nouvel instantané de haute énergie de Cen A met également en évidence une bande de poussière qui s’enroule autour de la taille de la galaxie. Les astronomes pensent de cette fonction est un vestige d’une collision qui Cen A l’expérience avec une galaxie plus petites y a des millions d’années.
Les données conservées dans une vaste archive de Chandra sur Cen A fournissent une ressource riche pour un large éventail de recherches scientifiques. Par exemple, les chercheurs ont publié les résultats en 2013 sur les sources de rayons X ponctuelles dans Cen A. La plupart de ces sources sont des systèmes où un objet compact – soit un trou noir ou une étoile à neutrons – tire gaz à partir d’une étoile compagnon en orbite. Ces objets compacts forment par l’effondrement d’étoiles massives, avec des trous noirs résultant des étoiles plus lourds que les étoiles à neutrons.
Les résultats suggèrent que la quasi-totalité des objets compacts avaient masses qui sont tombés en deux catégories: soit moins de deux fois celle du Soleil, soit plus de cinq fois plus massives que le Soleil.Ces deux groupes correspondent à des étoiles à neutrons et les trous noirs.
Cet écart de masse peut nous dire sur la façon dont les étoiles massives explosent. Les scientifiques s’attendent à une limite supérieure sur les étoiles à neutrons les plus massives, jusqu’à deux fois la masse du Soleil. Ce qui est curieux, c’est que les petits trous noirs semblent peser à environ cinq fois la masse du Soleil. Les étoiles sont observées d’avoir une gamme continue de masses, et donc en termes de poids de leur progéniture nous nous attendons à des trous noirs à porter sur l’endroit où les étoiles à neutrons se sont arrêtés.
Bien que cet écart de masse entre les étoiles à neutrons et des trous noirs a été vu dans notre galaxie, la Voie Lactée, ce nouveau Cen Un résultat fournit les premiers indices que l’écart se produit dans les galaxies les plus éloignées. Si elle s’avère être omniprésent, il se peut que, un type spécial de l’effondrement rapide stellaire est nécessaire dans certains explosions de supernovae.
Caption: Chandra Telescope Team X-ray: NASA/CXC/U.Birmingham/M.Burke et al.
Source Facebook et WIRED ICI