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Jean-Louis Marie (debout) avec Stéphane Grandgirard, en permanence en liaison avec les équipes de recherches sur le terrain. Photo Christian Gauchet

Parti de Colmar à 7 h 30 pour rejoindre l’aérodrome de Montbéliard, l’avion n’arrivera jamais. Le pilote a eu le temps de signaler un problème moteur avant le silence radio. Il est 8 h 56, l’exercice des radioamateurs pour le localiser peut débuter.
L’association départementale des radioamateurs au service de la sécurité civile (ADRASEC 90) doit en permanence être apte à participer au plan de Sauvetage Aéro-Terrestre (SATER). Pour cette raison, le dernier dimanche de chaque mois est mis à profit pour réaliser un exercice interne. Ses adhérents s’entraînent à la recherche du signal d’une balise de détresse dissimulée.

Hier, c’était au tour de Jean-Louis Marie le président du radio club de Sevenans (90) de faire réagir ses camarades. Dans la réalité, les radioamateurs interviennent en phase « bravo » du plan Sater. À cet instant, l’aéronef en détresse est au sol ou a disparu dans une zone probable, et le fonctionnement de sa balise de détresse en émission est signalé.

Une fréquence radio réservée aux exercices ADRASEC

La suite de l’article de Christian Gauchet Le PAys.fr ICI